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Beauté d'une femme
beauté d'une femme
Vos cheveux sont pareils
A l'écume des vagues
Vos lèvres sont pareils
A la beauté des mers
Et océans
Votre visage est d'une beauté
Si douce
Et si tendreQue dés lors je vous aperçois
Mon cœur et mon âmeS'envolent au Paradis.
Et, arriver à ce jardin d' Éden
Je ne peux que penser
A un doux rêve sucré
D'on je ne voudrais,
Jamais me réveillerBisous de Chrys
Tags : beauté, femme, paradis, image
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Commentaires
Coucou ma chère Chrys
très jolie ta création * beauté d'une femme * ainsi que ton poème
mon petit passage pour te souhaiter un bon mercredi.
Le temps on n' en parle pas mdrrr
Demain journée courses donc je serai absente
** a vendredi **
Bisous tendresse
Gros poutoux de Tanya et câlinous des châtounets
Connais tu le parfum Tanya ? Lol
Martine
Bonjour chrys
J'aurai aimé ressembler à cette belle personne mais la vie en a voulu autrement
Je te souhaite une bonne journée, bisous
Très doux ce poème sur la beauté d'une femme
amitié et gros bisous pour toi
non non mon amie je ne me sers pas d'un hébergeur d'image
c'est ekla qui ne fonctionne pas comme il faut lorsque j'ouvre un blog je n'ai pas accès à ce pavé de dialogue donc pas possible de poser un commentaire ni une image
aujourd'hui ça à l'air de fonctionner je vais bien voir et de toutes façons avant de fermer j'attends mi septembre la fin des vacances car peut être que tout cela est lié gros bisous mon amie
Re coucou ma chère Chrys
la chanson à l'ouverture de mon blog est la rencontre par Jean François Maurice et Maryse
bisous tendresse et bonne soirée
martine
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Beauté d'une femme qui comme un jeu d'échec, au milieu de nulle part serait comme un jeu sec,
le cavalier étant un peu comme la tour, un pion utile un peu mais sans détours,
le roi bouffon espiègle et monstrueux, regardant le fou rigolard et irrespectueux,
la reine sensorielle se mirant dans les glaces, ignorante des choses que la vie lui retrace,
et le plus beau de tout étant le pion, qui de sa taille et de sa nécessité se prend pour un morpion,
alanguit sur les cases noires ou blanches, afin que de son art un jour il ne flanche.
Poème misogyne écrit par un soudard, qui de loin en loin ne vit pas de son art.