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La tendresse
Albin Michel 2003
Le grand livre de la tendresse.
Il est des mots
dont la soudaine irruption
révèle une révolution souterraine.
Ainsi le mot tendresse.
Depuis quelques années,
nous le voyons prendre place
en des lieux où longtemps
il aurait paru déplacé.
Quoi de plus vital pourtant ?
Sans tendresse,
le petit humain
ne peut s'édifier ;
ni l'adolescent s'émanciper ;
ni l'adulte former un couple ;
ni le vieillard mûrir.
Sans tendresse,
les amants ne s'aiment pas vraiment
et les mourants laissent derrière eux d'irrémédiables regrets.
Sans tendresse,
nous n'existerions pas.
Tags : la tendresse poésie Albin Michel
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Commentaires
Je ne peux que confirmer, et quoi de mieux que les douces paroles chantées par Bourvil dans les années 1950/60
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pasAmicalement
Claude
PS ça marche ce matin, c'est parfait
Tout à fait mon amie
très beau texte
et je t'envoie toute ma tendresse
pour cette nouvelle semaine
qui commence amitié Mado
Bonjour Chrys
oui la tendresse cela manque quelque fois
passe une agréable journée
prend soin de toi
♥♥ Amitié.Bisous.Colette ♥♥
magnifique création Chrystale pleine de tendresse,je pense qu'il vas faire beau il vas y avoir le soleil,je te souhaite un très bon lundi,bises
Bonjour Chrys,
Tu te fais rare, un coup de blues peut-être ? Avec le temps qu'il fait, s'est normal. Beaucoup passe par là.
Par erreur, mauvais clic, mon blog a changé, mais je ne trouve pas la solution pour refaire ma bannière. Je cherche, mais en vain.
Bonne soirée avec de gros bisous
Jean
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Bonjour CHRYSTALE
De quoi nous faire réfléchir
Sur le mot tendresse.
Un dimanche
Du frais 0° au soleil 11°
Et en soirée de l’eau
Alors on reste cool
Et chacun s’adaptera
A son ciel météorologique
En commençant
en cette fin de nuit
avec un zéro
Bisous & Amitiés
56MELDIX77
le Briard Breton
http://aveclaphoto.eklablog.com/
Des poires d’été
L’honneur est donné
A la dorée ;
De celles d’automne,
A la bergamote ;
Et de l’hiver,
Au bon chrétien.
O. DE SERRES