• l'automne

    les feuilles aux couleurs dorées,

    voltigent et se mettent à danser,

    avant de s'abattre à nos pieds dans un tourbillon.

    dans l'air flotte le parfum,

    des champignons,

    le crépitement de nos pas dans le chemin.

    le brame d'un Cerf dans le lointain.

    toutes ces couleurs mordorées,

    toutes ces senteurs respirées,

    comblent nos regards émerveillés,

    l'Automne vient d'arriver.

    L'automne est de retour


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  • Je t'envoie un paquebot de baiser
    sur un océan d'amour
    porté par une vague de bonheur
    qui j'espère s'échouera un jour
    sur ton cœur

    Bisous de Chrys


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  • Tant de jours, tant de mois
    Sans écrire sur nous,
    Sans écrire sur toi…
    Mes souvenirs sont flous.

    Des instants de bonheur,
    Des moments de frayeur,
    Le vide dans le cœur
    Et l’oubli de la peur.

    La tendresse infinie,
    Les battements de cœur…
    Et partager ta vie,
    Effacer les erreurs.

    Ne vivre que pour toi
    Au gré de tes humeurs,
    À donner tout de moi
    Au rythme de tes peurs.

    Attendre après des mots
    Que tu ne diras pas…
    Qui panseraient mes maux
    Et que tu garderas.

    Saint Apollinaire,


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  • Redire je t’aime

    J’aimerais redire ces mots
    Mais à qui pourrais-je les dire
    Ces trois mots tellement beaux
    Je ne sais même plus les dire..

    Qui pourrait donc bien m’aimer
    Moi avec ma vie pourrie
    Qui pourrait donc bien m’aimer
    Et m’appeler un jour.. chérie..

    J’aimerais redire je t’aime
    A un homme qui m’aimerait tant
    Mais voici mon gros dilemme
    Je n’ai pas de prince charmant..

    *************

    Ce que je pense :

    Il arrive souvent qu'on ne voit pas ce qui est à portée de main,

    aucune cause n'est jamais perdue,

    un amour peut se déclarer à l'hiver de la vie,

    il reste un amour

    Bisous de Chrys


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  • Le cygne

    Sans bruit, sous le miroir des lacs profonds et calmes,
    Le cygne chasse l'onde avec ses larges palmes,
    Et glisse. Le duvet de ses flancs est pareil
    A des neiges d'avril qui croulent au soleil ;


    Puis quand les bords de l'eau ne se distinguent plus,
    A l'heure où toute forme est un spectre confus,
    L'oiseau dans le lac sombre où sous lui se reflète
    La splendeur d'une nuit lactée
    C
    omme un vase d'argent parmi des diamants,

    Dort, la tête sous l'aile, entre deux firmaments.

    (auteur inconnu)


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