• J’ai dans le cœur , une petite boîte où j’enferme tous les bisous de chaque jour.

    Ceux que tu m’envoies, je les garde précieusement,

    suivant les humeurs, ils seront petits bisous, doux bisous, bisous étoilés,

    bisous par milliers.

    Lorsque j’ai besoin d’un instant de bonheur, j’ouvre ma petite boîte et

    je vais en chercher quelques uns.

    Je m’en fais un petit pull pour m’y enrouler dedans.

    Amitiés Chrys


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  • ma tête se monte, mes idées, mes projets se choquent, se croisent, fermentent,

    et je crois que l’orage est en dehors tandis qu’il n’est que dans moi.

    Heureusement que j’ai au moins la force de cacher aux autres tout ce chaos..

    (Benjamin Constant)


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  • L'automne est une mutation, l'hiver une lutte,

    le printemps un épanouissement.

    Bisous printaniers de Chrys

    Le printemps, c'est la saison du renouveau de la nature, du retour des oiseaux migrateurs et du réveil des animaux hibernants. C'est aussi la saison des amours chez les oiseaux et pour tout le monde, une période particulièrement euphorique. Il est bien connu que le soleil agit comme un antidépresseur puissant et son retour contribue donc à nous mettre le moral au beau fixe !

    Victoire du jour sur la nuit


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  •  Fleurs éternelles

    Je sème des fleurs

    Sur mon passage

    Des fleurs d'instants,

    Si parfumées

    Que, même lorsque

    J'avance en âge,

    Elles me ramènent

    Vers mon passé.

    (Anne Schwarz-Henrich)


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  • La courbe de tes yeux

    La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur,
    Un rond de danse et de douceur,
    Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
    Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
    C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
    Feuilles de jour et mousse de rosée,
    Roseaux du vent, sourires parfumés,
    Ailes couvrant le monde de lumière,
    Bateaux chargés du ciel et de la mer,
    Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
    Parfums éclos d'une couvée d'aurores
    Qui gît toujours sur la paille des astres,
    Comme le jour dépend de l'innocence
    Le monde entier dépend de tes yeux purs
    Et tout mon sang coule dans leurs regards.

    (Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926)


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