• Ces plantes absolument fascinantes qui semblent venir d’une autre planète

    Incroyable diversité de la nature !... C'est fascinant, carrément !..
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    Nous parlons souvent d’animaux étranges et incroyables, mais au sein du règne végétal, certains spécimens sont eux aussi vraiment époustouflants ! Les 8 plantes que vous allez voir sont si fascinantes que vous aurez du mal à croire qu’elles poussent sur Terre.

    ci-dessous Rafflesia arnoldii

    Cette plante se distingue par la taille de sa fleur, la plus grande du monde. Elle grandit dans les forêts de Bornéo et de Sumatra et peut atteindre un mètre de diamètre et peser 11 kilogrammes. L’autre particularité de ce végétal est que lors de la floraison, elle dégage une odeur de chair en putréfaction. On la surnomme d’ailleurs « fleur cadavre ». Cela a pour but d’attirer les mouches, scarabées et autres insectes qui œuvreront à la pollinisation.


    La Rafflesia arnoldii est l’une des trois fleurs nationales de l’Indonésie, que le gouvernement a déclaré en danger en 1993. La fleur est soit mâle, soit femelle et a reçu ce statut du fait de sa fécondation très compliquée. Les insectes doivent d’abord se rendre sur la fleur masculine, puis sur la féminine pour que la pollinisation fonctionne. De plus, la floraison ne dure que quelques jours. Elle est également violemment attaquée par un parasite, et son territoire se réduit à cause de l’activité humaine.

     ci-dessous Amorphophallus titanum

    L’Indonésie a la « chance » de posséder deux plantes que l’on surnomme « plantes cadavres ». Celle-ci se distingue de la précédente car elle ne pousse pas près du sol, mais au contraire elle peut se dresser à plus de 3,6 mètres de haut, avec une spathe en forme de trompette que l’on pourrait comparer à une baguette, ou encore un phallus pour les esprits mal tournés.


    La fleur n’éclot que quelques fois en quarante ans. Lorsque c’est le cas, la puanteur se sent de très loin, comme si un corps se décomposait. L’effet est renforcé par le fait que la spathe se transforme en une masse spongieuse brune et humide. Cela attire les insectes qui assurent la pollinisation. Une fois l’odeur évacuée, les oiseaux viennent picorer les graines, ce qui assure la plantation de nouveaux spécimens.

    ci-dessous . Utricularia gibba

     

    L’urticulaire bossue semble jolie en apparence avec ses belles fleurs jaunes flottant à la surface de l’eau. Malgré tout, ce végétal est un tueur incroyablement efficace. Sous l’eau, ses branches se déploient et forment des pièges qui attrapent tout ce qui passe à portée, des insectes aux crustacés dont la plante se nourrit.


    Les scientifiques considèrent que ce mécanisme est le plus sophistiqué de tout le règne végétal. Les « sacs » suspendus aux branches immergées possèdent une sorte de porte articulée qui reste fermée tant que rien ne passe à portée. Une fois qu’elle est touchée par une proie potentielle, la membrane se brise et absorbe l’eau ainsi que la victime qui se fera digérer.

    ci-dessous . Hydnora africana

     

    Cette plante ressemble à une créature extraterrestre vorace, mais elle vit en grande partie sous terre. Elle se nourrit d’autres plantes en s’accrochant à leurs racines jusqu’à ce que l’intrigante fleur Vermillion parvienne à sortir du sol. Celle-ci diffuse une horrible odeur d’excréments. On la croirait armée de dents, pourtant cette plante d’Afrique du Sud n’est pas une tueuse, mais plutôt une kidnappeuse.


    Son odeur attire les pollinisateurs tels que les bousiers et autres scarabées charognards. Ils se retrouvent piégés à l’intérieur de la fleur et restent enfermés jusqu’à ce qu’ils soient recouverts de pollen. La plante se déploie alors et libère les prisonniers qui pourront aller féconder d’autres spécimens.

    ci-dessous Nepenthes lowii

    Les plantes carnivores figurent parmi les plus fascinantes. Celle-ci reste très mystérieuse car sa méthode de digestion de la viande reste inconnue. Alors que les autres espèces de Nephentes piègent et digèrent les insectes dans leurs réservoirs remplis de fluides, Nephentes lowii préfère apparemment un aliment un peu moins ragoûtant. Les botanistes sont toujours en train de débattre sur le fait que la plante se nourrit de matières fécales d’animaux ou non.


    Cette plante carnivore possède une forme relativement différente des autres végétaux du même type. Les scientifiques ont remarqué qu’elle n’attrapait des insectes que très rarement dans ses réservoirs. La plante sécrète une substance blanche ressemblant à des cristaux sur les parois internes de ses couvercles. Son goût sucré pourrait attirer de petits mammifères et agirait comme un laxatif dont le but serait de collecter leurs déjections.

    ci-dessous Tacca chantrieri

    Cette plante nommée également « fleur chauve-souris » se distingue par sa couleur noire. Contrairement aux autres spécimens de la famille Dioscoreaceae à laquelle elle appartient, elle ne ressemble pas du tout à une patate douce. Au contraire, elle possède de grandes feuilles sombres ainsi que de longs filaments descendant comme des moustaches.


    Cette plante, poussant dans les forêts tropicales du Yunnan en Chine, était autrefois admirée pour son feuillage vert. Plus récemment, elle a été cultivée pour sa couleur noire très appréciée des collectionneurs. Pour ceux qui n’aimeraient pas les couleurs sombres, une espèce blanche existe également.

    ci-dessous Mimosa pudica

    Cette plante surnommée « plante timide » est souvent utilisée par les instituteurs en école primaire pour attirer l’attention des enfants. Elle pousse comme une mauvaise herbe dans les régions tropicales d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud. Sa principale curiosité vient du fait que ses feuilles composées se replient sur elles-mêmes lorsqu’elles sont touchées et se déploient à nouveau quelques minutes plus tard.


    Si vous aimez les noms compliqués, vous pouvez désormais utiliser celui-ci : “thigmonastie”. C’est le terme technique utilisé pour décrire le mouvement des feuilles induit par le contact. Celles-ci se ferment également pendant la nuit. A l’état sauvage, cette plante peut former un buisson de près d’un mètre de diamètre.

    ci-dessous Hydnellum peckii

    A noter que ce champignon n’est pas une plante, vu que c’est un champignon. Sa bizarrerie sans pareille lui a tout de même accordé une place dans cette liste. Certains l’appellent champignon dent-qui-saigne, d’autres l’associent à de la glace et du coulis de fraises, ou encore à la dent du Diable… Le rapprochement avec les dents vient de sa partie inférieure, parsemée de petites excroissances cylindriques et effilées qui produisent les spores.


    Bien qu’il puisse apparaître appétissant, il n’est pas comestible. Ce champignon pousse en Amérique du Nord, en Europe et a été récemment découvert en Corée et en Iran. Il est du type mycorhize, ce qui signifie que son habitat naturel se situe au niveau des racines des conifères, qui nourrissent le champignon alors qu’il améliore la qualité du sol autour de l’arbre. En vieillissant, il devient marron et perd ses taches liquides rouges.

    Nous avons été complètement subjugués par ces plantes toutes plus étranges et étonnantes les unes que les autres. Une fois de plus, la nature nous a surpris par son originalité et sa diversité, surtout lorsque l’on pense aux « fleurs cadavres ».

    Et vous, Quel est le végétal qui vous a le plus impressionné ?

     

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  • La beauté intérieur


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  • Allez on débute la semaine un peu d'humour n'a jamais tué personne!!


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  • La belle histoire du jour :

    un traitement en vue pour le petit "garçon lézard"

    En raison d'une rare maladie de peau, un petit garçon voit sa peau se transformer en écailles. Une maladie génétique rare, l'ichtyose, en est la cause. Mais, grâce à des dons, il va pouvoir suivre un traitement en Israël.

     

    les écailles sur une grande partie de son corps. Peu à peu, Zhasulan Korganbek, cinq ans, originaire du Kazakhstan, devient un "garçon lézard" et ce, bien contre sa volonté. C'est en raison d'une maladie rare, l'ichtyose, que son corps se couvre, lentement mais sûrement, de ce qu'on pourrait confondre avec des sortes d'écailles. Ses membres, son torse, son cou, son visage ou encore ses oreilles sont plus ou moins fortement touchés.
    Il s'agit d'une maladie chromosomique dérivée du grec ichthyos qui signifie poisson. La peau s'assèche en raison d'un épaississement anormal des premières couches de l'épiderme. La peau, qui ne se renouvelle pas assez vite, se couvre de squames fines à bord libre. Leur disposition rappelle étrangement les écailles d'un poisson, d'où le nom de cette maladie. Zhasulan Korganbek a hérité de ce dysfonctionnement par sa mère, Ulbibi, porteuse du gène altéré, explique le quotidien britannique The Daily Mail. Dans ce cas, le risque de transmettre la maladie à son enfant est de 50 %.

    Vue de près, on peut constater à quel point la peau du petit garçon est dégradée Photo : Capture d'écran d'une vidéo

    Un traitement possible en Israël grâce à des dons


    Mais, heureusement, la générosité humaine devrait changer la vie de ce "garçon lézard". En effet, près de 30 000 euros ont été réunis grâce à des dons afin de permettre à ce petit garçon de cinq ans seulement de se rendre en Israël pour y recevoir un traitement spécifique. S'il n'est pas possible de guérir réellement de l'ichtyose, une clinique israélienne a mis au point un protocole pour réduire les effets de cette maladie. Elle est basée sur l'utilisation du laser, de crèmes et de bains à base d'eau salée.
    Pour Zhasulan Korganbek, cela signifie sans doute la fin d'un long calvaire. "Je ne veux plus être un lézard. Je veux être normal", a-t-il déclaré à la presse. L'enfant a d'ores et déjà suivi un mois de traitement à Almaty, la capitale du Kazakhstan. Mais cela n'a permis d'améliorer que très légèrement sa condition. Heureusement, les soins qu'il va recevoir à la clinique israélienne devraient changer considérablement son apparence.

    source; http://www.metronews.fr

     


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  • La vigne rouge, amie de la circulation

    C 'est quand il fait chaud et que rester debout devient pénible qu'elle est utile.

    ci-dessous

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     vigne-rouge-jambes-lourdes

    1) Elle allège les jambes lourdes

    " Seules les feuilles rouge pourpre Tinctoria, communément appelé variété des teinturiers, sont utilisées en phytothérapie"indique le Dr Yves Donadieu.

    Au terme de leur maturité, à l'automne, une fois séchées à l'ai libre et à l'abri de la lumière, elles contiennent des anthocyanosides dont l'action vitaminique P combat l'insuffisance veineuse, des tanins qui facilitent le retour vers le cœur du sang accumulé dans les jambes et

    des prohantocyanidiols qui protège la paroi veineuse.

    La synergie de ces propriétés astringentes, veinotoniques et vasoconstrictrices     permet de soulager:

    - Les jambes lourdes ou enflées aux premières chaleurs, avec œdèmes, ainsi que les impatiences au moment de se coucher,  avec un besoin irrépressible de bouger;

    - L'apparition des varices et les séquelles de phlébite.

    - Les crises hémorroïdaires.

    En décoction, faire bouillir 1 cuil. à soupe de feuilles dans 20 cl d'eau

    pendant 3 min.

    Laisser infuser 10 min. Boire 2 à 3 tasses par jour, 20 jours/mois.

    2) Elle soulage les gênes oculaires

    La conduite de la voiture,  une longue séance d’ordinateur,

    une atmosphère enfumée, un effort visuel en continu ou encore des irritations...

    Peuvent être à l'origine d'une gêne visuelle désagréable.

    On utilise alors la vigne rouge sous forme de collyre.

    Une fenêtre habillée de feuilles de vigne

    3) Elle stimule la microcirculation cutanée

    Lorsque la peau " marque" spontanément (bleus),

    est sujette aux pétéchies (petites tâches rouges)

    ou la couperose, c'est le signe d'une fragilité capillaire.

    Grâce à ses principes actifs, la vigne rouge renforce et tonifie les parois

    des petits vaisseaux cutanés, faisant ainsi disparaitre ces manisfestations dermiques.

    Conseil d'un herboristerie:

    Utiliser simultanément des infusions de vigne rouge

    (40 g de feuilles séchées dans 1 litre d'eau bouillante pendant 10 min)

    et une lotion associant vigne rouge et mélilot.

     

    MODE D'EMPLOI

    - Sous quelle forme?

    Feuilles séchées, poudre micronisée, extrait sec et aqueux, teinture mère, collyre.

    - Quelles- contre- indication?

    Aucune connue.

    - Â quelle dose ?

    En infusion, 1 tasse après chaque repas; en gélule, 2 g de poudre micronisée

    et 400 mg d'extrait sec/jour, en 3 prises au cours de chaque repas; aqueux,

    1 ampoule avant chaque repas.

    - Durée du traitement ?

    1 semaine sur 2 en cure préventive, 3 semaines par mois en cure curative. 

     


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